Les rituels de la Toussaint se transforment en France. Selon un sondage réalisé par l’IFOP pour Florajet, près de 32 % des Français choisissent de ne plus fleurir les tombes de leurs proches. Derrière ce chiffre, c’est tout un éventail de nouvelles mentalités et de choix individuels qui se dessine. Ce phénomène divise surtout les générations, et questionne l’avenir des pratiques funéraires traditionnelles en France.
Les jeunes générations ébranlent les traditions, les seniors s’y accrochent
Selon l’enquête menée par l’IFOP, 56 % des Français continuent de perpétuer la tradition de fleurir les tombes de leurs proches. Cependant, une proportion significative d’entre eux (32 %) choisit de ne pas le faire, invoquant des raisons personnelles, le changement des traditions, ou même une indifférence croissante envers cette pratique. Cette tendance est particulièrement marquée chez les moins de 35 ans, qui se montrent plus enclins à redéfinir leur manière d’honorer la mémoire des défunts.
Là où les jeunes générations tendent à déléguer la tâche à des proches (35 % d’entre eux), les seniors continuent de s’attacher à ce geste traditionnel. Ainsi, 43 % des personnes de plus de 50 ans fleurissent elles-mêmes les tombes de leurs proches, montrant une volonté claire de préserver ce rite qui leur est précieux.
Le fleurissement à distance : une solution adaptée aux nouveaux modes de vie
Avec les modes de vie modernes, souvent marqués par un éloignement géographique des lieux de sépulture, le recours à des services de fleurissement des tombes reste marginal (3 %). Cependant, cette solution intéresse surtout les jeunes générations, avec 6 % des moins de 35 ans qui l’utilisent déjà. Elle trouve également une popularité naissante dans certaines régions, notamment la région parisienne et le Nord-Est.
Bien que l’usage soit encore limité, l’intérêt pour ces services est appelé à croître : 9 % des Français se disent intéressés, dont 2 % très intéressés. Ces services présentent une opportunité de modernisation pour le secteur funéraire et peuvent répondre aux contraintes des nouvelles générations, souvent écartelées entre manque de temps et éloignement.
Le manque de temps et l’éloignement : des freins au fleurissement
L’enquête révèle aussi que 17 % des Français souhaiteraient fleurir les tombes mais en sont empêchés par diverses contraintes. Le principal frein reste l’éloignement (14 %), suivi du manque de temps. Par ailleurs, des difficultés d’ordre financier concernent 5 % des Français, traduisant les limites de cette pratique pour certains foyers. Ce contexte laisse apparaître l’importance de solutions adaptées à la vie moderne, pour perpétuer ce geste dans un monde en évolution.
Une transformation du choix floral et chromatique
Le chrysanthème reste la fleur emblématique de la Toussaint pour 45 % des Français, bien que cette préférence soit largement dominée par les seniors (51 %). Pour leur part, les jeunes adultes préfèrent varier les compositions florales en s’orientant vers des pensées (27 %), des cyclamens (20 %), des œillets (18 %) ou encore des rosiers (16 %). Cette diversification florale montre un renouvellement des préférences, marquant un tournant dans la manière de commémorer les défunts.
La couleur des fleurs est elle aussi en pleine mutation. Les jeunes préfèrent des couleurs plus modernes, telles que le blanc (28 %) et l’orange (23 %), alors que le violet, traditionnel, reste prisé par les générations plus âgées (24 %). Ces choix de couleurs témoignent de la volonté des jeunes de bousculer les codes et d’insuffler une nouvelle énergie aux rituels funéraires.
Florajet, prête à répondre aux évolutions des usages
Dans ce contexte de transformation des pratiques, Florajet, créé en 1992, se positionne comme un acteur incontournable du secteur floral. Avec une expertise acquise depuis 30 ans et une présence à la fois nationale et internationale, l’entreprise propose des solutions adaptées aux nouveaux besoins des Français. La numérisation des commandes et la collaboration avec plus de 4500 artisans fleuristes permettent de répondre aux attentes des jeunes générations : plus de flexibilité, de modernité, et une possibilité de fleurir les tombes à distance, en toute simplicité.
Dirigée par Virginie Lefrancq, Florajet s’engage aussi dans une démarche responsable, visant à proposer des bouquets de saison et à s’adapter aux enjeux climatiques. L’entreprise s’affirme ainsi comme un acteur du changement, capable d’accompagner les mutations des pratiques funéraires en France, entre tradition et modernité.
A propos de Florajet :
Florajet est créé en 1992 par Philippe Lefrancq, fleuriste passionné et soucieux d’apporter à la profession un élan moderne dans la transmission florale. Précurseur et entrepreneur de talent, il facilite le quotidien des 12 000 artisans fleuristes français en numérisant les prises de commandes. Une simplification de la prise de commande qui, pour l’ensemble de la profession a positionné la marque Florajet comme un intermédiaire référent sur le territoire national et à l’international. Partenaire de plus de 4500 artisans fleuristes et à l’origine de la commande de 600 000 bouquets par an, Florajet est un acteur incontournable des sites d’achat floral en ligne. Présent depuis 30 ans sur 95% du territoire Français et dans 110 pays dans le monde, Florajet vient d’être reconnu « meilleur site e-commerce dans la catégorie fleuriste ». Un niveau de qualité dans la composition florale assuré par ses 4500 adhérents fleuristes qui positionnent Florajet comme le deuxième site marchand le plus utilisé en France. Une prestation et une attention portées aux consommateurs qui ont forgé le respect et la renommée de la marque Florajet au sein de toute la profession horticole. Consciente des enjeux climatiques, l’entreprise Florajet PME française, avec un point d’orgue à développer en interne une politique RSE et s’attache à proposer à la vente des bouquets de saison. Plus de 80 personnes travaillent au siège de Florajet, réunies autour de la Directrice Générale, Virginie Lefrancq, fille du fondateur et nommée à la tête de l’entreprise en janvier 2024.