Alors qu’ArcelorMittal a annoncé un plan social menaçant plus de 600 emplois en France, le Parti Radical 21 exprime sa vive inquiétude et apporte son soutien total aux salariés affectés. Plusieurs d’entre eux se sont rendus au siège de l’entreprise à Saint-Denis, ce mardi 13 mai, pour alerter sur les conséquences humaines et industrielles de cette réorganisation.
Un choc pour les territoires industriels
« La suppression de plus de 600 emplois aurait des conséquences dramatiques pour les sites concernés, en particulier à Dunkerque, Florange et Basse-Indre », alerte Maxime Moulazadeh, Secrétaire général du Parti Radical 21. Le parti, historiquement engagé en faveur de l’industrie française, rappelle le rôle essentiel de la sidérurgie dans la souveraineté économique du pays.
Une interpellation immédiate du gouvernement
Dès le 25 avril, soit quelques heures après l’annonce du plan, la sénatrice de Meurthe-et-Moselle et secrétaire générale déléguée du parti, Véronique Guillotin, a interpellé le ministre de l’Économie Éric Lombard. Elle a appelé à une réaction forte de l’État face à une décision qui intervient alors que des aides publiques significatives ont été accordées à ArcelorMittal pour accompagner sa décarbonation.
L’Europe au cœur de la réponse
Pour Jean-Philippe Morel, président du Parti Radical 21, « l’État doit se tenir prêt à accompagner avec volontarisme les salariés impactés, tout en apportant des clés aux entreprises confrontées à une guerre commerciale asymétrique, notamment face aux produits subventionnés venus de Chine ».
La présidente du Parti Radical, la ministre Nathalie Delattre, insiste : « C’est au niveau français mais aussi, et surtout, européen que nous devons forger une stratégie ambitieuse pour une sidérurgie résiliente et innovante ». Le Parti Radical affirme ainsi son engagement pour une industrie décarbonée, solidaire, et intégrée dans une vision stratégique européenne.
Un appel à une mobilisation collective
Dans un contexte de mutation de l’industrie et de concurrence internationale féroce, le Parti Radical 21 appelle à une mobilisation collective — politique, économique et sociale — pour préserver les savoir-faire, accompagner la transition écologique et garantir l’avenir de la sidérurgie française. Fidèle à ses valeurs européennes, écologistes et humanistes, le parti entend jouer un rôle actif dans cette transformation.
Communiqué de presse du 15 mai 2025 :
ArcelorMittal : le Parti Radical 21 apporte son soutien aux salariés et appelle à une stratégie européenne ambitieuse pour une sidérurgie résiliente et innovante
Les élus et membres du Parti Radical, attachés à l’industrie et à la sidérurgie française, sont particulièrement préoccupés par le plan social envisagé par ArcelorMittal et souhaitent apporter leur soutien aux salariés, dont certains se sont rendus au siège à Saint-Denis ce mardi 13 mai.
« La suppression de plus de 600 emplois aurait des conséquences dramatiques pour les sites qui sont concernés, en particulier à Dunkerque, à Florange ou encore en Basse-Indre. » exhorte Maxime MOULAZADEH, Secrétaire Général du Parti Radical 21
Dès le 25 avril, quelques heures après l’annonce, Véronique GUILLOTIN, Secrétaire générale déléguée du Parti Radical et Sénatrice de Meurthe-et-Moselle, a interpellé le ministre de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique, Monsieur Éric LOMBARD, pour solliciter une action forte du Gouvernement auprès d’ArcelorMittal.
Elle a par la même occasion rappelé que ce projet de réorganisation survient alors que l’État s’est engagé sur des aides publiques importantes en faveur de la décarbonation de l’entreprise, et qu’un plan d’action pour l’acier et les métaux a été présenté récemment par la Commission européenne.
« Au-delà de la nécessaire mobilisation pour préserver ces emplois, l’État doit se tenir prêt à accompagner avec volontarisme les salariés qui seraient directement impactés par ces mesures, tout en apportant des clés aux entreprises qui font face à une guerre commerciale asymétrique notamment du fait des produits subventionnés chinois. » indique Jean-Philippe MOREL, Président du Parti Radical 21.
« C’est au niveau français mais aussi, et surtout, européen que nous devons forger une stratégie ambitieuse pour une sidérurgie résiliente et innovante qui réponde à ces défis », précise la Ministre Nathalie DELATTRE, Présidente du Parti Radical. Les formations politiques auront dans cette réflexion un rôle central à jouer et le Parti Radical, profondément européen, écologique et solidaire, y prendra toute sa part.