La fédération du Parti socialiste de Côte-d’Or prend la parole pour affirmer une position claire : défendre une sécurité du quotidien, au service de toutes et tous, loin des postures idéologiques ou des caricatures politiques. « Ce sont toujours les plus vulnérables qui subissent les premières conséquences de l’insécurité. »
Pour les socialistes de Côte-d’Or, la sécurité est une condition de la justice sociale. L’ignorer, affirment-ils, serait trahir l’idéal d’égalité. Ils s’indignent donc des discours politiques qui appellent à la suppression de la police municipale ou des dispositifs de vidéoprotection, considérant qu’une telle position méconnaît les réalités du terrain.
« C’est abandonner celles et ceux qui attendent de la puissance publique qu’elle protège, qu’elle agisse, qu’elle assure le droit fondamental de vivre en sécurité. »
Une gauche de responsabilité, pas de déni
Le Parti socialiste assume une gauche de responsabilité. Une gauche qui reconnaît les difficultés et cherche à y répondre, sans verser dans la démagogie sécuritaire ni dans le déni.
Cette gauche ne confond pas sécurité et répression, mais affirme que l’ordre est un bien commun, un impératif de la société républicaine.
« Être de gauche, ce n’est pas renoncer à la protection : c’est l’organiser avec justice. »
Les socialistes défendent une sécurité de proximité, préventive, humaine et encadrée, dans le respect des libertés fondamentales. Ils plaident pour des moyens adaptés pour les forces de l’ordre, et pour un travail coordonné avec les éducateurs, les associations et les collectivités, afin d’agir à la fois sur les causes et les conséquences de l’insécurité.
Refus des caricatures politiques
Le communiqué s’attaque aussi aux récupérations politiques : « Refusons que la droite et l’extrême droite s’érigent en seuls défenseurs de l’ordre, alors qu’elles méprisent les inégalités qui minent notre cohésion sociale. » Le Parti socialiste de Côte-d’Or revendique une gauche du réel, pragmatique, protectrice et populaire, une gauche qui agit pour toutes et tous. Le communiqué réaffirme une conviction forte : « La sécurité est une condition de la liberté, de l’égalité et de la fraternité. »
Communiqué de presse du 7 juillet 2025 :
Le Parti socialiste de Côte-d’Or défend une sécurité du quotidien, au service de toutes et tous
La sécurité est une condition de la justice sociale. Ce sont toujours les plus vulnérables qui subissent les premières conséquences de l’insécurité. L’ignorer, c’est trahir notre idéal d’égalité.
Entendre des responsables politiques appeler à supprimer la police municipale ou les dispositifs de vidéoprotection au nom d’une vision idéologique, c’est méconnaître les réalités du terrain. C’est abandonner celles et ceux qui attendent de la puissance publique qu’elle protège, qu’elle agisse, qu’elle assure le droit fondamental de vivre en sécurité.
La gauche que nous portons est une gauche de responsabilité. Une gauche qui ne nie pas les difficultés, mais qui cherche à y répondre. Une gauche qui refuse la démagogie sécuritaire autant que le déni. Une gauche qui ne confond pas sécurité et répression, mais qui sait que l’ordre est un bien commun, impératif de notre société républicaine.
Être de gauche, ce n’est pas renoncer à la protection : c’est l’organiser avec justice. C’est soutenir une sécurité de proximité, préventive, humaine et encadrée. C’est permettre à nos forces de sécurité d’agir dans de bonnes conditions, avec les outils adaptés et le respect strict des libertés. C’est travailler avec les acteurs de terrain, les éducateurs, les associations, les collectivités, pour agir sur les causes comme sur les conséquences de l’insécurité.
Nous refusons les caricatures.
Refusons aussi que la droite et l’extrême droite s’érigent en seuls défenseurs de l’ordre, alors qu’elles méprisent les inégalités qui minent notre cohésion sociale.
Notre gauche est celle du réel. Une gauche pragmatique, protectrice, populaire. Une gauche qui agit, au service de toutes et tous. La sécurité est une condition de la liberté, de l’égalité et de la fraternité.