Dans la perspective des élections municipales de 2026, le mouvement Renaissance a lancé une grande consultation citoyenne en Côte-d’Or. À l’initiative de Fadila Khattabi, de l’ancien député Didier Martin et du président de Renaissance en Côte-d’Or, Laurent Baumann, cette démarche vise à recueillir l’avis des habitants sur les enjeux majeurs du territoire : sécurité, transports, attractivité économique et qualité de vie.
Un projet participatif pour construire l’avenir
Lors du lancement de cette initiative à Dijon, Fadila Khattabi a souligné l’importance de cette consultation :
« Nous lançons en Côte d’Or une consultation citoyenne en vue des échéances municipales à venir, avec Laurent Baumann et Didier Martin, accompagnés de plusieurs militants. C’est essentiel de donner la parole aux habitants sur les sujets qui les concernent directement. »
Le questionnaire, accessible à tous, permettra de recenser les attentes et préoccupations des citoyens sur l’ensemble du département. « Venez nous retrouver et répondre à notre questionnaire. Nous en avons besoin pour bâtir les projets de demain », a-t-elle ajouté.
Renaissance en embuscade pour 2026 ?
Au-delà de la simple consultation, cette initiative pourrait bien être le point de départ d’une stratégie électorale pour Renaissance à Dijon et dans l’ensemble du département. Fadila Khattabi et Didier Martin semblent bien décidés à peser dans la bataille des municipales.
Cette dynamique pourrait-elle faire de l’ombre à Nathalie Koenders, actuelle première adjointe de la ville ? Le jeu politique reste ouvert, mais Renaissance affiche clairement son ambition.
« Ma commune, je l’aime, je l’améliore ! »
C’est sous ce slogan que les Dijonnais et Dijonnaises sont appelés à donner leur avis.
« Parce que notre engagement repose avant tout sur l’écoute et l’action, nous lançons une grande consultation citoyenne : « Ma commune, je l’aime, je l’améliore ! ». Nous voulons comprendre les attentes des habitants et construire, avec eux, l’avenir de notre territoire. »
À un peu plus de un ans des municipales, Renaissance pose les bases d’un futur projet politique en s’appuyant sur la voix des citoyens. Cette stratégie participative suffira-t-elle à redessiner le paysage politique local ? Réponse en 2026.