En utilisant ce site, vous acceptez la Politique de confidentialité et les Conditions d'utilisation."
Accept
Dijon ActualitésDijon ActualitésDijon Actualités
  • ‎Accueil
  • Élections municipales 2026
  • Dijon et son agglomération
  • L’actualité dans votre commune
    • Ahuy
    • Bressey-sur-Tille
    • Bretenière
    • Chenôve
    • Chevigny-Saint-Sauveur
    • Corcelles-les-Monts
    • Daix
    • Dijon
    • Fénay
    • Flavignerot
    • Fontaine-lès-Dijon
    • Hauteville-lès-Dijon
    • Longvic
    • Magny-sur-Tille
    • Marsannay-la-Côte
    • Neuilly-Crimolois
    • Ouges
    • Perrigny-lès-Dijon
    • Plombières-les-Dijon
    • Quetigny
    • Saint-Apollinaire
    • Sennecey-lès-Dijon
    • Talant
  • Météo
Reading: Des organisations paysannes et environnementales répondent par une lettre ouverte au Manifeste de l’Eau
Partager
Notification Lire la suite
Font ResizerAa
Dijon ActualitésDijon Actualités
Font ResizerAa
  • Accueil
  • Élections municipales 2026
  • Météo
  • Accueil
  • Élections municipales 2026
  • L’actualité dans votre commune
    • Ahuy
    • Bressey-sur-Tille
    • Bretenière
    • Chenôve
    • Chevigny-Saint-Sauveur
    • Corcelles-les-Monts
    • Daix
    • Dijon
    • Dijon et son agglomération
    • Fénay
    • Flavignerot
    • Fontaine-lès-Dijon
    • Hauteville-lès-Dijon
    • Longvic
    • Magny-sur-Tille
    • Marsannay-la-Côte
    • Neuilly-Crimolois
    • Ouges
    • Perrigny-lès-Dijon
    • Plombières-les-Dijon
    • Quetigny
    • Saint-Apollinaire
    • Sennecey-lès-Dijon
    • Talant
  • Météo
Follow US
© 2023 (CPDA) Dijon-Actualites.fr
Dijon et son agglomération

Des organisations paysannes et environnementales répondent par une lettre ouverte au Manifeste de l’Eau

Dernière mise à jour : 26 septembre 2025 7h45
il y a 3 jours
Partager
Partager

Confédération paysanne 21, Confédération paysanne Bourgogne-Franche-Comté (BFC), Réseau Bio, France Nature Environnement 21, Réseau AMAP BFC et ARDEAR BFC publient une lettre ouverte datée du 25 septembre 2025 pour répondre au « Manifeste de l’Eau » lancé par la Chambre d’agriculture de Côte-d’Or. Ces organisations, sollicitées pour signer le texte intitulé « Pour une eau au service de la souveraineté agricole et alimentaire », refusent d’y apposer leur nom. Elles dénoncent un manifeste jugé lacunaire, qui met « les bassines partout sur notre territoire comme seule réponse au réchauffement climatique ».

« Produire mieux plutôt que plus »

Dans leur lettre, les signataires expliquent partager les inquiétudes sur la sécheresse et la raréfaction de l’eau, mais regrettent que le texte de la Chambre d’agriculture ne propose qu’une vision techniciste et productiviste. Ils rappellent qu’« il ne sera plus possible de mobiliser autant nos ressources vitales » et qu’il faudra accepter de produire moins, à condition de produire mieux, dans des systèmes agricoles sobres, résilients et locaux.

Trois critiques majeures du Manifeste

Les organisations pointent trois grands manquements au texte de la Chambre :

  • La souveraineté alimentaire dévoyée : au lieu de garantir le droit des populations à une alimentation saine et locale, le manifeste défend selon eux un modèle agro-industriel tourné vers l’export et les agrocarburants.
  • Les bassines comme unique solution : ils s’opposent à une généralisation de ces retenues d’eau, dénonçant leur modèle économique non viable et leur impact écologique, en particulier si elles sont alimentées par les nappes phréatiques.
  • L’oubli de la qualité de l’eau : les signataires rappellent que les pollutions agricoles (pesticides, nitrates) rendent déjà certaines eaux impropres à la consommation.

Leurs propositions

Plutôt que des méga-bassines, les signataires demandent :

  • une priorisation des usages de l’eau, donnant la priorité à l’alimentation humaine, à l’abreuvement du bétail et aux productions locales (notamment le maraîchage) ;
  • un plafonnement des prélèvements selon le nombre d’actifs et le type de productions ;
  • un soutien accru aux pratiques agroécologiques (agriculture biologique, stockage de l’eau de pluie, sols vivants) ;
  • la fin du financement des méga-bassines au profit de solutions plus durables et perméables.

« Changer de modèle »

Les organisations affirment qu’il est urgent d’accompagner l’ensemble de la profession agricole vers un modèle agroécologique ambitieux. « Le modèle agro-industriel actuel a trop accaparé et dégradé nos ressources sans assurer un revenu digne aux paysans », dénoncent-elles.

Elles concluent : « Le seul horizon viable est d’aller vers une agriculture qui fasse vivre dignement les paysans, nourrisse la population en qualité, préserve le vivant et affronte le changement climatique ».


Lettre Ouverte de nos organisations en réponse au « Manifeste de l’Eau » de la Chambre d’agriculture 21.

Certaines de nos organisations ont été sollicitées par la Chambre d’Agriculture de Côte d’Or pour signer le Manifeste « Pour une eau au service de la souveraineté agricole et alimentaire ». Cet intitulé est un objectif de bon sens que nous partageons, tout comme nous pouvons partager les bonnes intentions du texte introductif. Seulement, nous nous désolidarisons de ce manifeste lacunaire qui consiste essentiellement à promouvoir les bassines partout sur notre territoire comme seule réponse pour l’agriculture au réchauffement climatique.

Nous pouvons être favorables à l’irrigation et au stockage d’eau mais seulement sous certaines conditions. En amont d’un processus qui conduirait à mettre en place d’éventuelles bassines, ce manifeste devrait évoquer clairement la nécessité de mener une politique de l’eau en concertation avec tous les acteurs de nos territoires, y compris au sein de la diversité du monde agricole, pour acter le partage et la priorisation des usages de l’eau, ce qu’il survole. Ce manifeste oublie d’évoquer la nécessité d’accompagner au plus vite nos systèmes agricoles vers des formes plus sobres et résilientes, de mieux valoriser nos productions localement. Il oublie volontairement d’évoquer la problématique des pollutions d’origine agricole de nos ressources en eau.

Les crises climatiques et du vivant qui s’installent, pressurisent et fragilisent nos systèmes, nos équilibres. Il ne sera plus possible de mobiliser autant nos ressources vitales qui deviennent de plus en plus précieuses. Le vivant ne pourra plus autant absorber et tamponner nos excès. Nous allons devoir, par la force des choses, nous résoudre à produire moins. Mais nous ne pourrons massivement accepter cet état de fait dans nos fermes qu’à la condition que nous puissions produire mieux, pour vivre enfin toutes et tous dignement et durablement de notre métier et retrouver des perspectives enthousiasmantes.

Le temps presse et il paraît primordial de limiter le réchauffement climatique, sous peine de ne plus pouvoir nous adapter dans des régions entières du globe jusqu’à chez nous d’ici quelques décennies seulement. Dans ce scénario du pire ou nous l’espérons du moins pire, nous devrons forcément faire bifurquer notre modèle agricole pour accorder et maîtriser notre agriculture dans ces nouvelles conditions à venir, plutôt que de contribuer à alimenter ce phénomène et plutôt que d’exposer de plus en plus nos systèmes agricoles mal ou non adaptés à des ruptures brutales désastreuses.

Notre avis concernant ce manifeste :

Sur la forme…

Il est d’abord regrettable que nous n’ayons pas été consultés pour contribuer au processus d’élaboration de ce manifeste et trouver un véritable consensus sur ce sujet hautement important qui dépasse la simple dimension agricole. Cette manière de faire est un mauvais signal alors que nous avons besoin d’avancer en concertation et que l’agriculture doit impérativement s’ouvrir au pluralisme et plus largement à la société. A l’inverse, nous plébiscitons la démarche remarquable de concertation qui a été par exemple entreprise par le syndicat « Ouche Vouge Tille » et qui a débouché récemment sur une prospective 2050 ambitieuse éditée sur un consensus large au regard des nombreux enjeux et usages de l’eau et dont nous partageons les conclusions en fin de ce document.

Sur le fond…

Nous partageons le même constat que le manifeste sur les difficultés croissantes que le réchauffement climatique impose à nos systèmes agricoles et plus largement à terme à notre souveraineté alimentaire. Mais nous regrettons essentiellement trois volets importants dans ce manifeste :

– nous regrettons que la souveraineté alimentaire telle qu’employée par le manifeste soit dévoyée de son sens originel. La souveraineté alimentaire, telle que la définit originellement l’ONU, constitue « le droit des individus, populations, des communautés, et des pays à définir leur propre politique alimentaire ». Il s’agit ainsi que toutes les populations aient droit à une alimentation saine, culturellement et nutritionnellement appropriée, ainsi qu’à des ressources de production alimentaire et à la capacité d’assurer leur survie et celle de leur société. A l’inverse, dans ce manifeste, ce concept renvoie à un modèle agro-industriel et d’échanges mondialisés de minerais agricoles. Ce modèle qui survit dans une fuite en avant mortifère, crée de la malbouffe au nord et des famines au sud, ainsi que de la surproduction dont une très grande partie est gaspillée, sans oublier de lourds impacts négatifs environnementaux et humains. Les baisses de production que le changement climatique va nous imposer s’annoncent effectivement significatives. Au nom de notre souveraineté alimentaire, nous devrons donc prioriser les productions pour l’alimentation locale. Les agro-carburants, les productions destinées à alimenter les méthaniseurs ou à l’export massif doivent être remis en cause, en tous les cas ne pas être irrigués.

– nous regrettons que l’adaptation de nos systèmes et la priorisation des usages de l’eau, qui sont les points primordiaux préalables pour assurer les bonnes conditions de notre avenir, soient dans ce manifeste balayés et que les bassines apparaissent en définitive comme la seule solution à déployer. Nous affirmons que nous ne pourrons pas en mettre partout et pour tout le monde et nous nous inquiétons du peu de cadrage mentionné pour l’élaboration de ces structures : d’où viendra l’eau et pour quoi faire? Il est inenvisageable pour nous d’approvisionner ces bassines par de l’eau de nappes phréatiques comme cela a été fait ailleurs. Par ailleurs, les retours d’expérience montrent que le modèle économique des « méga-bassines » n’est pas viable même avec de l’argent public, dont il conviendra d’évaluer la pertinence d’en apporter de nouveau pour des structures équivalentes ou apparentées, à l’heure de la rigueur budgétaire. De plus, la mise en place de cultures irriguées en zone de plaine ne revêt pas, sans plus de fléchage des cultures cibles, un caractère de nécessité avéré. En effet, compte tenu de l’orientation majoritairement céréalière de ces territoires, le développement de telles cultures concernerait principalement des productions à forte intensité en intrants et en équipements (à l’image du maïs semence dans les plaines de Dijon et de Dole-Tavaux). Ces systèmes requièrent une mobilisation importante en eau et s’accompagnent d’un recours accru aux engrais chimiques et aux produits phytosanitaires, générant ainsi une pression supplémentaire sur les ressources hydriques et sur l’environnement. Par ailleurs, ces productions, largement intégrées dans des filières longues, ne contribuent pas de manière significative à l’amélioration du revenu agricole local, la valeur ajoutée étant essentiellement captée en dehors de l’exploitation. Dans ces conditions, l’intensification de l’irrigation en plaine apparaît davantage comme un facteur de dépendance technique et économique pour les fermes que comme un outil pertinent de soutien à leur durabilité et à leur autonomie. Les solutions purement techniques, vaguement évoquée dans le manifeste comme éléments d’adaptation, sont un mirage. La révolution technologique « génétique-numérique-robotique », censée nous mener vers une agriculture « 4.0 » soi-disant de précision qui résoudra tout, n’est pas généralisable au regard des ressources et de l’impact environnemental (et notamment climatique) qu’elle implique. Cette révolution n’est pas non plus souhaitable au regard de l’asservissement qu’elle participera à amplifier auprès des agriculteurs.trices face au complexe agro-industriel. Les lacunes flagrantes de ce manifeste menacent d’enfermer nos systèmes à tous les niveaux dans de tragiques maladaptations, ceci pour tenir le rythme d’une fuite en avant productiviste dogmatique, perdue d’avance.

– nous regrettons que la problématique de la qualité de l’eau ne soit pas mentionnée, alors que nos ressources d’eau potable apparaissent déjà trop souvent polluées notamment en raison de nos activités agricoles (pesticides, fertilisants), compromettant parfois jusqu’à leur potabilité y compris sur notre territoires. Pour rappel, l’ANSES a publié en 2023 un rapport sur « l’eau destinée à la consommation humaine ». En France, sur 157 pesticides et métabolites de pesticides recherchés, 89 d’entre eux ont été détectés au moins une fois dans les eaux brutes et 77 fois dans les eaux traitées.

Nos préconisations sur ce qu’il convient de mettre en œuvre :

Prioriser d’abord les usages :

Concernant les priorités de second ordre identifiées par la loi LEMA (après la santé, la salubrité publique, la sécurité civile et l’alimentation en eau potable de la population), nous considérons que la conservation de la vie biologique du milieu récepteur et le libre écoulement des eaux sont à replacer au premier ordre. En second temps viennent effectivement les activités économiques. Dans ces activités la production alimentaire locale doit être prioritaire au nom de la souveraineté alimentaire aussi bien pour ce qui concerne l’irrigation des cultures que l’abreuvement des animaux. Les cultures d’exportations ou destinées à l’alimentation des méthaniseurs, nécessitant une irrigation spéculative, ne le sont pas. Prenant en compte leur nombre d’actifs, les fermes qui favorisent le développement d’une agriculture relocalisée et bio doivent pouvoir bénéficier d’un accès privilégié et sécurisé à l’eau, particulièrement le maraîchage.

Améliorer ou convertir nos systèmes agricoles pour les rendre performants, sobres, résilients en eau et intégrés à notre territoire :

Tels que les travaux de prospective 2025 du bassin « Ouche Vouge Tille » le prévoient, il est primordial d’accompagner l’activité agricole, viticole et sylvicole pour faire face aux impacts du changement climatique et protéger la qualité de notre eau. Ces travaux ont établi des conclusions déclinées en objectifs opérationnels pertinents pour l’agriculture, repris en copie pour information en fin de ce communiqué. Ces propositions vont dans le sens des revendications que nous ne cessons de porter à ce sujet.

Nos fermes et nos pratiques doivent évoluer vers des formes sobres et résilientes grâce à l’impulsion forte et cohérente des pouvoirs publics, notamment via l’adaptation de certaines règles PAC. Par exemple :

  • baisser les taux de chargement plancher et optimum de nos élevages pour intégrer des dimensions extensives dans l’ICHN face au manque d’eau et de fourrages;
  • réorienter les aides à l’actif et aux petites fermes plutôt qu’aux UGB et hectares;
  • soutenir fortement l’agriculture biologique (comme les retour des aides aux maintien, la haute du plafond crédit d’impôt…) et des MAEC ambitieuses;
  • protéger les productions face à la pression de l’industrie agroalimentaire et face à la concurrence mondialisée, recréer des filières locales etc.

Nous soutenons l’irrigation et le stockage de l’eau. Mais ces dispositifs, sous certaines conditions, ne sont qu’une infime part de la solution dans une démarche globale structurelle qui intègre au préalable le partage et la préservation de nos ressources pour soutenir une production alimentaire adaptée et destinée à notre territoire. Nous allons devoir adapter et même changer nos pratiques et productions, y compris celles dites traditionnelles, pour nous adapter aux nouvelles conditions climatiques (qui ne vont cesser d’évoluer avec le réchauffement), avec le recours à des variétés ou races rustiques paysannes, à des productions végétales et animales qui ont peu de besoins en eau. Nous souscrivons aux propositions de la prospective 2050 du bassin « Ouche Vouge Tille », déclinées en copie à la fin de ce document. Enfin, il convient évidemment de tenir notre trajectoire climatique la plus basse possible et que notre agriculture y contribue à tous les niveaux.

Devant l’impasse du modèle agro-industriel actuel qui n’a que trop accaparé, exploité et dégradé nos ressources sans assurer un revenu digne à nos nos agriculteurs.trices et sans répondre aux grands enjeux vitaux de notre époque, nous devons changer. Le seul horizon viable possible sera d’accompagner toute la profession pour aller vers un modèle agro-écologique ambitieux soutenu à tous les niveaux et avec cohérence par les pouvoirs publics.

En définitif, nous demandons :

– Une priorisation forte des usages de l’eau au sein de l’agriculture vers l’abreuvement du bétail et les productions agricoles qui relocalisent l’alimentation et favorisent les emplois en agriculture, en particulier le maraîchage.

– Pour tout prélèvement d’eau existant ou à venir, le volume accordé doit être plafonné selon le nombre d’actifs sur la ferme et en fonction des productions. Les plafonds doivent être déterminés au niveau local et en fonction des conditions pédo-climatiques et hydrogéologiques du territoire et relativement à des pratiques qui favorisent d’abord les économies d’eau.

– Des financements pour le soutien et le développement de pratiques agronomiques paysannes qui permettent de retenir l’eau dans les sols, de protéger et d’économiser la ressource en eau.

– Un rééquilibrage du financement du stockage d’eau vers la récupération des eaux de pluie des bâtiments et des stockages d’eau perméables au milieu et qui limitent leurs impacts sur la biodiversité et la ressource en eau.

– La fin des méga-bassines et de leur financement.

– Un équilibrage de la place des différentes parties prenantes dans la gestion de l’eau, avec une place plus importante accordée aux citoyen·nes, aux structures qui défendent une agriculture qui protègent la ressource et aux paysans et paysannes qui n’irriguent pas.

– Au delà de la problématique de l’eau, toutes les mesures qui permettront un changement profond de modèle agricole pour cheminer ensemble vers une agriculture qui fasse vivre les paysans dignement de leur travail, qui alimente en qualité toute la population, qui préserve le vivant et nos ressources naturelles, qui s’affronte au changement climatique et qui fasse revivre nos campagnes.

– Au delà de la problématique agricole, toutes les mesures qui permettront de tenir la trajectoire climatique planétaire la plus basse possible pour conserver une planète vivable.

Le positionnement complet de la Confédération paysanne sur la gestion de l’eau est consultable sur le guide de « La gestion quantitative de l’eau en agriculture », téléchargeable: https://www.confederationpaysanne.fr/sites/1/mots_cles/documents/guide%20eau-03-2023_MD.pdf

Partager cet article
Sur Facebook Email Copier le lien
Article précédent Élection municipale à Chenôve : c’est officiel, Patricia Marc sera la candidate de La France Insoumise
Article suivant Loyers : une hausse prévue en 2026, mais les APL suivront

Nos autres articles

Dijon : la CGT Côte-d’Or fête 130 ans de luttes et de conquêtes sociales
Dijon Dijon et son agglomération
Agressions d’élus à Chenôve : Philippe Neyraud fustige un soutien à géométrie variable
Chenôve
Centre commercial Dauphine : la marque danoise Søstrene Grene attire les foules lors de son ouverture
Dijon
Piscine olympique de Dijon : le bassin d’échauffement fermé jusqu’à nouvel ordre
Dijon et son agglomération

Vous aimerez aussi

41e Édition des Journées Européennes du Patrimoine : un week-end riche en découvertes en Bourgogne-Franche-Comté

il y a 1 an

Sécurité routière : opération de contrôle ciblée en Côte-d’Or, 11 infractions relevées

il y a 4 mois

Élections législatives : « une grande satisfaction » pour François Rebsamen après la victoire progressiste à Dijon

il y a 1 an

Bourgogne-Franche-Comté : 1 500 événements pour la 42ᵉ édition des Journées européennes du patrimoine

il y a 3 semaines
Précédent Prochain
//

Dijon Actualités est un media local sur Dijon Métropole. Retrouvez l’actualité politique, sociale et culturelle de Dijon et ses environs jour après jour.

Dijon-Actualités

  • Mes favoris
  • Historique

Retrouvez-nous sur les réseaux sociaux

© 2025 (CPDA) Dijon-Actualites.fr
  • Contact
  • Cookie
  • Le Club Press Dijon Actualités
  • Manifeste
  • Mentions légales
  • Politique de confidentialité
Bienvenue

Connectez-vous à votre compte

damien
Password

Vous avez perdu votre mot de passe ?