Le 6 octobre 2025, Dijon Actualités publiait un article intitulé « Rebsamen, la sortie ratée : le Bien Public ferme les commentaires après un tir nourri de critiques ». Eh bien, disons-le franchement : on s’est un peu emmêlé les pinceaux. Les commentaires n’ont jamais été fermés. Mea culpa.
Une erreur, oui, mais pas une affaire d’État
Dans notre article, nous écrivions que « des dizaines de commentaires avaient été postés avant que la rédaction ne les ferme face à la virulence des réactions ». Erreur de jugement : les commentaires, eux, se portaient très bien — simplement un peu… cachés. Nos confrères du Bien Public nous l’ont gentiment rappelé : pas de censure, pas de fermeture, juste un défilement infini entre pubs, suggestions d’articles et autres bannières qui font la joie du web moderne.
Un parcours du combattant numérique
Nous avons donc refait le test, vidéo à l’appui. Et effectivement, les commentaires sont bien là… tout en bas. Très en bas. Pour les atteindre, il faut passer :
- une première publicité,
- deux autres publicités pour de bon,
- six propositions d’articles à lire,
- puis encore six publicités.
Autant dire qu’il fallait avoir la foi — ou de très bons mollets de souris — pour arriver jusque-là. N’aimant pas trop les publicités, nous avions arrêté notre lecture un peu trop tôt. Mauvais réflexe. Mais comme on dit : « faute avouée, à moitié pardonnée ». Nous présentons donc nos excuses à nos lecteurs et à nos confrères du Bien Public, tout en saluant leur sens de la nuance… et de la persévérance face aux pop-ups.
La leçon du jour
Moralité : avant d’écrire qu’un média ferme ses commentaires, il faut d’abord scroller jusqu’au bout. Promis, la prochaine fois, on ira jusqu’à la dernière bannière — quitte à traverser un océan de pubs pour y parvenir.