La Fédération de la Côte-d’Or du Parti communiste français lance la saison des débats avec vigueur. Le 21 mai 2024 a marqué le premier débat d’une série de quatre, dans un contexte politique d’une gravité extrême. Face aux crises multiples, à la montée de l’extrême droite et à la faiblesse de la gauche, la présence de Léon Deffontaines et de la liste communiste a été soulignée comme essentielle.
Sans cette liste, selon La Fédération de la Côte-d’Or du Parti communiste français, certains sujets cruciaux, tels que la hausse des factures, la nécessité d’augmenter les salaires, le développement de l’emploi et des services publics, ainsi que le soutien aux agents publics, n’auraient pas été abordés. De même, la voix de la paix en Israël-Palestine et la dénonciation de l’imposture sociale du Rassemblement national auraient été absentes.
La liste communiste se présente comme unique à gauche, défendant les intérêts du monde du travail. Elle rejette les calculs identitaires et les approches fédéralistes qui servent le capital. À dix jours des élections du 9 juin, la mobilisation est de rigueur. Léon Deffontaines continuera à mener la bataille, mais la victoire dépendra de la participation de tous les membres du parti.
Chaque candidat, responsable national ou local, et adhérent est appelé à agir : initiatives locales, contacts personnels pour encourager le vote communiste. L’objectif est clair : obtenir 5 % des voix, ce qui signifierait cinq députés supplémentaires pour la gauche, réduisant ainsi la représentation de la droite et de l’extrême droite. La mobilisation doit mettre en lumière les principaux axes du programme communiste et valoriser les candidats engagés.
La Fédération de la Côte-d’Or du Parti communiste français appelle à jeter toutes les forces dans la bataille électorale. À l’approche des élections, c’est maintenant que les citoyens commencent à s’y intéresser, rendant cette période cruciale pour obtenir un résultat décisif.
Communiqué du 29 mai 2024 :
La saison des débats est lancée. Le 21 mai 2024 se tenait le premier débat d’une série de quatre. Dans une situation politique d’une extrême gravité, au regard des crises, du poids grandissant de l’extrême droite et de la faiblesse de la gauche, Léon Deffontaines vient de montrer une nouvelle fois l’importance de notre liste.
Sans notre liste, sans notre tête de liste sur le plateau hier, qui aurait parlé de la hausse des factures, du besoin d’augmenter les salaires, de développer l’emploi et les services publics en commençant par soutenir leurs agents ? Qui aurait porté la voix de la paix en Israël-Palestine sans complaisance avec les projets intégristes ? Qui aurait fait la démonstration de l’imposture sociale du Rassemblement national ?
Notre liste est unique à gauche. C’est la liste de la paye et de la paix. La liste de gauche unie pour répondre aux intérêts du monde du travail. La liste de gauche qui veut reprendre du terrain à l’extrême droite en montrant qu’eux ne défendent en rien les travailleurs et les travailleuses du pays. La liste de gauche qui ne se noie pas dans les eaux glacées du calcul identitaire ou dans les vieilles lunes fédéralistes qui ont toujours servi le capital.
Maintenant tout reste à faire dans les 10 jours qui nous séparent du scrutin le 9 juin prochain.
Notre tête de liste va prendre pleinement sa part du combat, mais seule la mise en mouvement du plus grand nombre possible de communistes peut nous permettre d’atteindre nos objectifs. À nous de prendre notre part partout en France dans les quartiers et les entreprises. Chacune, chacun de nos 81 candidats est un atout pour être visible et nous faire entendre dans les derniers jours. Chaque responsable national ou local du Parti peut impulser une initiative de proximité.
Et surtout, chaque adhérent et adhérente peut contacter ses proches, ses amis, ses collègues de travail pour les appeler à voter pour notre liste. Notre nombre, notre présence partout dans le pays, nos actions individuelles et collectives seront décisives pour le résultat final.
Portons les principaux axes de notre liste, valorisons nos candidats engagés dans des combats syndicaux et la diversité politique de notre rassemblement, rappelons qu’il n’y a qu’un seul tour et que 5 % pour notre liste c’est 5 députés en plus pour la gauche et 5 députés de moins pour la droite et l’extrême droite.
Jetons toutes nos forces dans la bataille, car c’est maintenant que nos concitoyens vont s’intéresser à l’élection, c’est maintenant que tout se joue.